Bonjour à toutes et tous,
Fin mai nous vous annoncions pour cet été une découverte progressive de Cosme. Nous souhaitons toutes les deux semaines, vous familiariserez avec les différents peuples qui l’habitent au travers d’un court descriptif qui représente ce que tout un chacun sait sur les différentes nations. Pour ceux qui nous rejoindront en joueurs, il faudra faire un choix entre l’un de ces peuples avant de pouvoir découvrir l’aide de jeu spécifique à la nation choisie et l’accès aux dons du peuple. Si la description rapide que nous vous offrons ici ne fait qu’une page, attendez-vous à en voir en moyenne dix une fois un peuple choisi.
En prélude à cette découverte, nous vous présentons l’une des nations qui s’est établie au sud-est du continent principal de Cosme. Bonne lecture !
Les caravanes de la Sylve chamarrée – le peuple errant
Descendants de Celle qui écoute et ressent, les membres du peuple de la Sylve chamarrée sont avant tout des nomades à la forte culture orale. Ils sont unis par un code moral qui régit leur vie jusqu’à leur mort tout en se montrant respectueux des traditions et lois des lieux visités. Leurs lois ne s’appliquent qu’entre sylviens. Ainsi la plupart des interdits et des tabous disparaissent dès qu’il y a une interaction avec un membre d’une autre nation et ce quel que soient les circonstances.
Chaque famille est organisée en caravane, mue par une volonté de compréhension de Cosme et de s’en faire les messagers auprès de tous ses habitants. Les caravanes se rassemblent ensuite en cinq tribus, chacune ayant son propre rôle au sein de la communauté de la Sylve (émissaires, protecteurs, bardes, ermites et prophètes).
Au sein d’une caravane, le pouvoir est réparti entre trois personnages clefs : le chef, celui qui dirige la caravane, le guide, celui qui ouvre la voie et l’ancien, celui qui est garant de la tradition.
Les habitants de la sylve respectent une parole donnée plus que n’importe quel contrat car c’est un engagement sur l’aura qu’ils font de cette manière. Ils considèrent également la vie comme sacrée car don de Cosme et n’ont que peu d’attrait envers la richesse matérielle, l’expérience de la vie étant bien plus importante.
La Sylve est par définition l’antithèse de la République marchande d’Alenghi mais elle partage néanmoins une connaissance accrue des routes et chemins de Cosme avec cette dernière, peut-être même plus développée encore car le voyage n’est pas qu’un moyen mais en but en soi pour les messagers de Cosme.